Service gratuit + prix appel

Domotique & climatisation, quels avantages ?

Domotique climatisation

Souviens-toi, l’été dernier. La chaleur, la canicule et les hautes températures, mais aussi… les nuits difficiles, le désespoir du ventilo et l’irrésistible envie d’investir dans une clim' efficace. Ah, elle est dure dure la vie en mode “tropiques”, loin de notre petit confort thermique ! Alors, on en parle de la clim’ ? Et pourquoi pas une climatisation domotique ? Voilà qui permettrait d’aller bien plus loin que le simple maintien du thermomètre à des températures potables. La preuve par 10 (avantages) !

1. La température idéale, gérée à tout moment où que vous soyez

C’est l’histoire d’un smartphone qui, en quelques clics et où qu’il soit, à la maison ou pas, est capable de lancer, d’ajuster ou d’éteindre la clim’.

Si cette info vous dit quelque chose, ce n’est pas étonnant ;). Car, de façon générale, la domotique sans fil nous permet de piloter les objets connectés directement depuis un appareil mobile, téléphone ou tablette. Le process est simple : on télécharge une appli à paramétrer et à personnaliser (l’appli en question est liée à la box domotique pour climatisation connectée) et celle-ci nous sert ensuite d’interface pour télécommander la climatisation connectée. La base de la maison intelligente !

Lire aussi :

Le point sur tous les avantages de la domotique

Côté degrés, voici notre recommandation pour ne pas tomber dans un élan tout-puissant de fraîcheur absolue (rappelons que le comble de l’été est quand même d’attraper froid et d’être enrhumé à cause d'un mauvais système de ventilation) :

  • 19°C dans le salon et autres pièces à vivre
  • 16 à 17°C dans la chambre

Pas question de descendre en dessous, surtout en été, hein ?

2. Le rafraîchissement de l’air, là où c’est nécessaire

Parce qu’on a ni l’habitude, ni l’envie d’observer des envolées extrêmes du thermomètre chez soi, activer un rafraîchissement de l’air est fort bienvenu en période de fortes chaleurs. Le piège ? Tomber dans l’excès inverse en activant le système dans toute la maison (alors que l’on est installé dans le salon par exemple) sans se soucier de la conso d’énergie engendrée.

Lire aussi :

Quels sont les appareils qui consomment le plus à la maison ?

Bonne nouvelle ! Si vous êtes équipé de plusieurs unités de contrôle pour climatisation domotique, il est possible de cibler la pièce à rafraîchir de toute urgence, comme la chambre avant l’heure du coucher, ou la cuisine à l’heure du dîner. Pour les autres, le besoin étant un peu moins nécessaire, si vous pouvez vous en passer ce sera autant d'énergie économisée !

3. La qualité de l'air et le taux d’humidité à la loupe !

Saviez-vous que l’air intérieur est bien souvent plus pollué que l’air extérieur ? Difficile à croire, notamment parce que la pollution extérieure est bien plus médiatisée… mais c’est pourtant bien vrai !

Selon l’ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), nous passons environ 80 % de notre temps dans des lieux fermés (en l’occurrence à la maison)*, un environnement propice à la forte présence de vilains pollueurs chimiques ou biologiques comme :

  • Le monoxyde de carbone (lorsque les appareils de chauffage et de production d’eau chaude sont mal entretenus).
  • Les composés organiques volatiles et semi-volatiles (présents dans les produits d’entretien, les parfums…).
  • La fumée de tabac et les pesticides.
  • Les particules et les fibres comme la poussière.
  • Indirectement, l’humidité avec ses amis les moisissures et les acariens…

Vous l’avez compris, l’air intérieur n’est pas aussi sain qu’on le croit ! 

La bonne nouvelle dans tout ça, c’est que la majorité des systèmes de climatisation domotique incluent des capteurs visant à surveiller le taux d’émission de monoxyde de carbone (CO) et d’humidité. L’idée : vous avertir en cas de concentration élevée, via l’appli. Mieux, l’alerte débarque souvent avec un conseil averti pour savoir comment agir en conséquence. Parfois, elle se charge même de mettre en route automatiquement le purificateur d’air.

Lire aussi :

Comment mesurer la qualité de l’air à la maison ?

Pour respirer un air pur (du moins, le plus possible), dans la maison, vous pouvez donc compter sur la climatisation domotique ! Pratique, aussi bien pour les enfants… que pour nous autres, adultes. La santé d’abord !

4. La désactivation automatique en cas de fenêtre ouverte 😉 

Chaque geste compte pour éviter le gaspillage d’énergie, et ça, la climatisation domotique l’a bien compris ! Grâce à la détection automatique de l’ouverture des fenêtres, une climatisation connectée est capable de s’arrêter pour éviter de dépenser de l’énergie inutilement. On salue l’intelligence et la démarche, très pratique en cas d’étourderie :).

5. L’anticipation de la clim’ grâce à la géolocalisation

Supposons que votre clim’ sache que vous vous apprêtez à faire irruption dans la maison, d’une minute à l’autre. Supposons que pour vous faire plaisir, elle s’active quelques minutes avant de façon à rafraîchir les lieux pour que vous puissiez trouver un nid à la température idéale à votre arrivée, loin, très loin de la chaleur estivale extérieure. Supposons qu’à l’inverse, elle prenne ses dispositions pour s’éteindre en toute autonomie, quand elle détecte votre absence.

Et si toutes ces suppositions étaient vraies ? On confirme. La maison intelligente, c’est aussi ça : un système de rafraichissement de l'air qui s’adapte à votre présence et anticipe vos besoins.

6. Des alertes utiles en cas de température inhabituelle

Certaines pièces de la maison ne supportent pas la chaleur (comme nous finalement). C’est le cas de la cave à vin ou du cellier dont la bonne conservation des grands crus et des provisions requiert une température constante à ne pas dépasser.

En ce sens, la version domotique de la clim' s’avère très utile pour s’en assurer, puisque grâce à elle, on peut activer des notifications sur téléphone nous alertant d’une température inhabituelle. On aime !

7. La transparence côté conso d'énergie, oui, oui, oui !

En plus de devenir notre meilleur alliée en été (après tout, il n’y a presque rien de plus pénible que de trouver le sommeil par 30°C), elle présente l’avantage d’être très transparente d’un point de vue conso énergétique.

En effet, grâce au tableau de bord accessible depuis l’appli, on accède au récap’ journalier, hebdo ou mensuel de chaque euro dépensé (via des données ou des graphiques). Cet historique est utile d’une année sur l’autre pour dresser un comparatif en interne (à la maison quoi), et surveiller de près l’activité liée au refroidissement de la maison.

8. La mise en place de scénarios 

Contrairement aux antibiotiques, la domotique est automatique, et c’est pour ça qu’elle est si pratique !

C’est ce qu’illustre si bien la mise en place d’actions automatisées et personnalisées, plus communément connues sous le nom de “scénarios domotiques sur-mesure”.

Le concept se divise en deux étapes :

  1.  Programmez la température souhaitée selon le moment de la journée (jour, nuit), selon le moment de la semaine (du lundi au vendredi, et le week-end) et selon le principe de présence ou d’absence. Tout le paramétrage du scénario se fait sur smartphone en toute facilité.
  2. Laissez l’intelligence artificielle prendre le relai. Vous verrez, la ventilation domotique s’adapte à vos consignes et les exécute au pied de la lettre, jusqu’à nouvel ordre. Eh oui, c’est ainsi que ça se passe ! 

Si vous êtes friand d’exemples, voici de quoi rendre ce concept plus concret :

Exemple 1 : le mode journée en semaine.

Pour vous mettre dans le bain, imaginez que vous emmenez vos enfants à l’école, puis que vous filez au travail. Cela signifie que jusqu’à 18h30, heure de votre retour accompagné(e) de votre petite famille, la maison est tout simplement vide. Personne n’est là et il ne s’y passe rien. Nada. Quel intérêt alors d’activer une quelconque ventilation qui rafraichira les lieux pour… personne ? Aucun. Résultat : on baisse les stores et volets, et si la maison surchauffe de 9h à 18h, tant pis. Le mode journée se mettra en route une demi-heure avant notre retour pour baisser la température ;). Ce sera toujours mieux que de gaspiller de l’énergie toute la journée.

Exemple 2 : le mode nuit.

Il faut dormir la nuit ! C’est pourquoi, selon le degré de chaleur, laisser la clim’ allumée dans la chambre peut être réellement salvateur ;). Cependant, aucune utilité de l’activer dans les pièces à vivre comme le salon ou la cuisine. Il est préférable de se restreindre à un usage dans la chambre à coucher, là où l’insomnie nous guette, en veillant à choisir un degré de température supportable pour la chasser ! Notez que si la température nocturne idéale dans la chambre est de 17°C, en été, pour éviter les grandes différences thermiques chaud – froid, et pour éviter de mettre la clim’ à fond, quelques degrés de plus devraient également faire l’affaire.

Exemple 3 : le mode week-end.

L’été bat son plein, il fait beau, il fait chaud, et comme tous les samedis, la famille s’octroie une pause au calme dans le salon, entre lecture, sieste et télé. Un moment de détente qui peut vite perdre tout son charme si on n’a pas de système de climatisation pour supporter les hautes températures ! Merci la brise artificielle de la ventilation connectée et son mode week-end, programmé à 19°C !

Exemple 4 : le mode absence.

Nous sommes donc en été, et comme c’est la saison des grands congés, eh bien, vous n’avez pas dérogé à la règle, et vous êtes en vacances, peut-être même plus au chaud encore ! Dans ce cas, place au mode absence, ce mode qui s’assure de maintenir la clim’ en “off” et éviter ainsi tout consommation énergétique non nécessaire.

9. Une installation facile, promis juré 😉

L’idée de prendre en charge une installation domotique vous fait le même effet que si on vous demandait de réaliser quelque chose que vous considérez comme insensé (et impossible) : courir durant 2 heures sans s’arrêter, cuisiner pour 50 personnes, sauter en parachute ? On se détend ;). L’installation domotique d’une climatisation n’a rien d’effrayant, bien au contraire ! D’ailleurs, vous risquez plutôt d’être surpris en réalisant qu’elle est tout à fait à votre portée.

Voici pourquoi : le matériel qu’il vous faut (dans l’optique d’un climatiseur sans fil) se résume à : un climatiseur (quelle question !), une centrale domotique incluant la fonction climatisation, des capteurs de température, un thermostat d’ambiance, du Wi-Fi (pour synchroniser le tout) et un smartphone (pour piloter l’ensemble depuis l’appli).

L’installation en mode Do It Yourself (DIY) est tout à fait envisageable, il vous faut alors suivre méticuleusement les instructions dictées par l’appli.

Autre possibilité ? S’offrir l’intervention d’un pro si on préfère se faciliter la vie !

10. La possibilité de choisir une climatisation domotique réversible !

Parler de clim’ sans parler de chauffage, c’est un peu comme parler d’été sans parler d’hiver !

Complémentaires, l’un nous rafraîchit à la belle saison tandis que l’autre nous permet d’hiberner au chaud. De fait, les combiner autour d’un système domotique de climatisation réversible pour profiter des bénéfices de chacun selon la saison, semble avoir vraiment du sens !

Lire aussi :

Le chauffage connecté, c’est quoi au juste ?

Le fonctionnement, lui, est similaire à celui d’un réfrigérateur, qui produit à la fois du froid (dedans) et du chaud (dehors). Pour se convertir en chauffage, la clim’ inverse sa mécanique d’évacuation de l’air chaud vers l’extérieur. C’est ainsi qu’elle passe de climatisation à chauffage domotique, d’air conditionné à source de chaleur !

Plusieurs marques se sont intéressés à ce procédé à double sens, comme en témoignent les systèmes domotiques de climatisation Daikin, Panasonic, Atlantic, Fujitsu, Hitachi, LG…

Un large panel de choix pour vous servir :). À vous de jouer !

*Source : “Un air sain chez soi” publié par L’ADEME, septembre 2019.

Partager

Laisser un commentaire

Restons connectés sur Instagram !