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Le thermostat aux petits soins pour votre santé

Le thermostat connecté aux petits soins pour vous !

Le thermostat connecté est en passe de devenir LA superstar à la maison ! Saviez-vous que ses fonctionnalités vedettes vont bien au-delà du pilotage du chauffage ? Au menu : plus de confort, plus d’économies, mais aussi plus de bien-être. Quel est le rapport entre votre santé et le thermostat connecté qui pilote vos radiateurs ? Qualité de l’air, degré d’humidité ou gestion de la température ambiante, vous allez voir que tout ceci compte…

1. Le contrôle du taux d’humidité

👊 Allergies et gênes respiratoires au placard !

Régler la température au degré près, c’est choisir son propre microclimat sous son toit. Et l’avantage derrière ça, c’est qu’on peut ainsi mieux maîtriser le niveau d’humidité chez soi par la même occasion.

On a tendance à l’oublier mais le degré d’hygrométrie à la maison doit être sous contrôle pour préserver notre santé. (Pour les novices, l’hygrométrie désigne la mesure de la quantité de vapeur d’eau contenue dans l’air humide).

Ce qu’il faut savoir à ce sujet, c’est que, dans la jungle, un taux élevé d’humidité donne naissance à une magnifique flore généreuse, mais à la maison, ça donne… des acariens et un tas de problèmes respiratoires.

Sans parler de la déco, entre la peinture qui s’effrite, les moisissures qui recouvrent les joints et la condensation qui s’invitent sur les fenêtres ! Rien de très élégant ni de très « healthy-friendly » quoi.  

✅ Ni trop sec ni trop peu, l’humidité à la maison, c’est une question d’équilibre

Et alors, le bon pourcentage d’humidité, ça donne quoi ? Eh bien, il est censé se situer quelque part entre 40 et 60%*.

Un air de déjà vu, cette quête de juste-milieu… À savoir la température idéale à la maison : ni trop basse ni trop élevée !

C’est pourquoi certains thermostats connectés – c’est le cas de la Station Sowee – sont capables de jouer les tours de contrôles de l’humidité à la maison.

En fonctionnalités, ça se traduit comment ? Un diagnostic précis sur la quantité de vapeur d’eau contenue dans l’air à la maison grâce à un capteur intégré. Mieux encore : des messages pour lancer l’alerte en temps réel en cas de seuils de taux d’humidité dépassés et des conseils pour savoir comment rectifier le tir.

Par exemple, l’air est trop sec ? Est-ce qu’il n’y aurait pas un excès de chauffage ? Et hop, vous faites d’une pierre deux coup en baissant de quelques degrés. L’air est assaini et votre facture de chauffage est adoucie.

Niveau santé : ce sont les muqueuses de votre gorge ou de votre nez qui vous diront merci.

Et si vous baissez trop la température ?

L’air froid sature plus rapidement que l’air chaud, si bien qu’une forte chute des degrés pourrait GRANDEMENT favoriser l’humidité.

Heureusement, vous n’avez pas besoin de diplôme scientifique sur la question. Taux d’humidité, température idéale et changement de température en douceur : le thermostat connecté prend la relève et fait en sorte de chouchouter tout cet écosystème !

🏃 A vous de compléter avec les bons gestes

Ce n’est pas parce que votre thermostat est un surdoué pour vous aider à lutter contre l’humidité à la maison qu’il est question de s’en contenter !

Certaines bonnes habitudes permettent, elles aussi, d’optimiser le taux d’humidité idéal chez soi :

  • Aérer une à deux fois par jour (même en hiver)
  • Nettoyer régulièrement les grilles d’aération de la VMC
  • Vérifier que la hotte aspire correctement…
  • Et n’oubliez pas que le chauffage est le meilleur ennemi de l’humidité à la maison, donc encore une fois : on ne navigue pas à vue, on programme !

2. La surveillance de la qualité de l’air

👊 Dedans comme dehors : faire barrage à la pollution

Il y a le fléau de la pollution de l’air extérieur (pas besoin de faire les présentations, on le connaît bien, surtout si on est citadin). Et, il y aussi celui, moins connu, de la pollution intérieure.

D’ailleurs, figurez-vous que contrairement aux idées reçues et à notre super-instinct (hum), l’air à l’intérieur est généralement beaucoup plus pollué. Même si vous n’avez pas de chat, pas de moquette, que vous n’êtes pas fumeur ni un inconditionnel des bougies parfumées.

Produits de bricolage, produits ménagers, matériaux de construction, mobiliers et peintures que l’on utilise tous, suffisent à polluer.

Le hic, c’est qu’on passe en moyenne 14 heures par jour à domicile**. Alors il vaut mieux que l’air que l’on y respire soit de la meilleure qualité possible, histoire de réduire les risques pour la santé (yeux qui piquent, gorge qui gratte, maux de tête, allergies et on en passe).

✅ Vivre d’eau fraîche et d’air pur

Vivre d’air pur, c’est quand même plus fun que d’être exposé à des polluants pouvant engendrer ou aggraver des pathologies chroniques, ORL ou respiratoires (sans vouloir être trop dramatique hein).

Bonne nouvelle, certains thermostats connectés (comme la Station Sowee, encore elle 😉 ) disposent de capteurs intégrés conçus pour surveiller la qualité de l’air dans les différentes pièces de la maison.

Pour alerter les habitants de la présence de polluants nocifs, il n’ y a pas plus pratique !

Par exemple, la Station informe ses utilisateurs en temps réel sur le taux de CO2 de leur home sweet home. Si ce dernier est trop élevé, la sonnette d’alarme est lancée (comprendre : une notif’ est envoyée via l’appli dédiée).

Au passage, un conseil vous est aussi transmis pour savoir comment retrouver un air sain. Ça donne par exemple : “Niveau de CO2 élevé / Vous devriez aérer”. Simple, efficace.

Quant à l’air extérieur, certains thermostats retranscrivent le niveau de pollution de la ville concernée. Chez Sowee, c’est le widget « Pollution de l’air » qui s’en charge. Ça a le mérite de nous permettre d’ajuster le programme de la journée. On n’ira peut-être pas faire un long footing ou une balade avec bébé en cas de très mauvaise qualité de l’air quoi 😬.

🏃 Là encore, les bons gestes sont indispensables

On a déjà parlé plus haut d’ouvrir les fenêtres et à vrai dire, on y revient. Le message a le mérite d’être clair : ce qu’il faut, c’est aérer tous les jours, toute l’année.

Et encore plus pendant certaines activités dites « polluantes ». Oui, oui, on parle bien du ménage, du bricolage ou des travaux de déco, mais aussi : des moments pendant lesquels on cuisine, ou bien pendant le séchage du linge, de l’heure de la douche ou du bain des enfants.

Sinon, l’action complémentaire, en plus d’aérer, c’est de s’assurer que la ventilation soit efficace. L’entretien et le dépoussiérage des grilles et entrées d’air ou d’aération, on les veut aux p’tits oignons et une fois par an !

Ah oui, bien sûr : on ne bloque pas les systèmes de ventilation mécanique contrôlée SVP. C’est mieux pour que la VMC puisse bien tourner 🤘.  

3. Un sommeil réparateur, c’est la clé

👊 (Ch)au(d) secours !

En période de canicule, vous dormez comment vous ? Pas terrible ? Et quand il fait très froid et que la bouillotte et les chaussettes en pilou-pilou ne suffisent pas, ce n’est pas top non plus !

C’est là qu’intervient une autre fonctionnalité du thermostat connecté : le pilotage de la température à la maison pour apaiser vos nuits. Dormir avec le bon dosage (au frais, mais pas trop non plus) est la clé pour favoriser un endormissement rapide et un sommeil réparateur !

Il semblerait que la fraîcheur ait un effet vasoconstricteur (ça marche aussi si on dit « effet décongestion du nez ») favorisant l’entrée dans le sommeil. Voilà, voilà. Vous savez tout. Du moins, l’essentiel.

✅ Température fraîche ou modérée = nuits tranquilles 🙂

L’objectif est clair : éviter un sommeil perturbé ! Les moyens pour y arriver le sont tout autant : il suffit de limiter l’exposition au grand froid ou aux grosses vagues de chaleur.

Maintenant qu’on a dit ça, rappelons que l’ADEME préconise 17°C dans la chambre*** durant les heures où on squatte notre lit. Jusqu’ici, c’est facile à régler : un petit paramétrage sur le thermostat connecté ou sur l’appli qui l’accompagne, et le tour est joué. En tout cas, en hiver, quand les températures sont déjà basses à l’extérieur, c’est tout bon.

Par contre en été, c’est sur le bon dosage de la clim’ (éventuellement réversible ?) qu’il faut miser. Car n’oublions pas : le corps humain n’aime pas les grands écarts de degrés !

On s’autorise donc à des variations allant jusqu’à 5 à 7°C maximum**** entre la maison et le monde extérieur, même si ce dernier est « on fire ».

Autre seuil à connaître pour s’épargner gros rhume et choc thermique en plein mois d’août : ne lancer la clim’ que lorsque le thermostat dépasse les 26 °C****.

Admettons qu’en-dessous, avec un ventilo, c’est tout à fait supportable. Résultat : la thermorégulation du corps devrait encore pouvoir suivre (a priori).

🏃 Adoptez les bons réflexes

En cas de chaleur, on ferme tout, fenêtres, rideaux, volets. Un double obstacle, c’est toujours mieux pour empêcher la chaleur de s’inviter !

Si votre appart’ ou maison est traversant(e), alternez les fermetures des stores et les ouvertures de fenêtres pour créer des courant d’air en fonction de l’ombre et de la courbe du soleil. En complément, facilitez les courant d’air la nuit, quitte à vous blottir dans une moustiquaire.

L’hiver, au contraire, laissez entrer le soleil et équipez-vous : pyjama des grands froids, plaid, bouillotte, tout est bon pour se réchauffer « naturellement », sans que la qualité de l’air ne soit affectée. Que voulez-vous, tous les sujets mentionnés ici sont interconnectés 😁.  

4. Un système immunitaire renforcé

👊 Le thermostat trop fort ou trop bas : on n’en veut pas !

Attendez, pourquoi on ne réglerait pas ce problème de température trop forte ou trop basse tout de suite puisqu’on a un thermostat ? Ben, parce que certains l’aiment (plus) chaud et que d’autres sont à l’extrême opposé.

Problème : intérieur surchauffé et santé ne font pas bon ménage. Muqueuses asséchées = muqueuses fragilisées. L’effet contraire n’est pas plus glorieux puisque les chutes de température brutales avec une clim’ montée à fond, nous rendraient plus vulnérables. C’est ce qu’on appelle l’effet yoyo thermique et c’est un phénomène que le corps vit comme une agression.

Et paf, le système immunitaire s’en retrouve fragilisé car en dehors des sorbets vanille et des glaces à la fraise, passer du « trop chaud » à du « trop frais » fait tourner notre système de thermorégulation à plein régime. Une suractivité qui fatiguerait l’organisme et le rendrait plus vulnérable aux virus… Ou comment mettre les deux pieds dans le plat. Paf.

✅ Variations de température tout en douceur, OUI, c’est possible

La vérité, c’est qu’il y a des écarts de températures qu’on ne pourra pas éviter. On pense bien sûr au changement climatique, ses redoux devenant trop classiques, suivis (bien sûr, sinon, c’est pas drôle) de chutes brutales des degrés à nous faire attraper un bon rhume en moins de deux !

Il n’empêche qu’à la maison, on peut gérer sa météo intérieure et s’épargner quelques mauvaises surprises. Pas vrai ? L’idée : rester raisonnable, qu’on souhaite être au chaud ou au frais selon la saison. Votre organisme vous le rendra bien !

🏃 Et pour aller plus loin…

On vérifie les réglages du thermostat du chauffage ou de la clim’ de façon à ce que les changements de paliers se fassent toujours progressivement. Encore une fois : pour le bien-être en général, faire les choses de façon modérée et graduellement, c’est hyper important !  

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*Source : ADEME, Comment assainir l’air ?

**Source : INPES, Pollution de l’air intérieur 

***Sources : ADEME, L’hiver tout confort

****Source : ADEME, Comment garder son logement au frais ?

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